0
0.00

< Retour à la liste des livres

Planète Méditerranée – Laurent Ballesta

55.0069.00

(48 avis client)

Peut-on encore produire des images inédites en Méditerranée ? Parce que les hommes y voyagent depuis des millénaires, on la croit sans secrets. Parce qu’ils l’ont conquise et maltraitée, on la croit dévastée. Mais pourtant, la Méditerranée est toujours une mer vivante qui reste à explorer. Dans ces profondeurs se cachent de vastes et riches territoires que l’homme connaît très mal : les récifs coralligènes. Ces hotspots de biodiversité aussi beau que les récifs coralliens se trouvent dans la « zone crépusculaire », entre 60 et 120 m de fond où ne parvient que moins de 1 % de lumière.

Étudier, illustrer, et faire connaitre la partie méconnue des richesses sous-marines de la Méditerranée : c’est le défi que s’est lancé le biologiste, plongeur et photographe Laurent Ballesta à l’été 2019 lors de sa dernière expédition. Planète Méditerranée raconte cette épopée fantastique pour éveiller les consciences sur les trésors de cet espace. Le livre est aussi la conclusion de son travail plus global mené sur le long terme en Méditerranée et regroupe ses 200 plus beaux clichés inédits, des années 2010 à aujourd’hui.

Paiement Sécurisé – Livraison gratuite

Informations complémentaires

Poids 3 kg
Dimensions 30 × 24 cm
Auteur

Laurent Ballesta

Langue des textes

Livre bilingue Français / Anglais

ISBN

978-2-490952-10-6

Choix de la livraison

Livraison en France ou international

Lieu d'impression

Imprimé en France

Éditeur

Andromède Océanologie – Hemeria

Planète Méditerranée – Laurent Ballesta

(48 avis client)

55.0069.00

Peut-on encore produire des images inédites en Méditerranée ? Parce que les hommes y voyagent depuis des millénaires, on la croit sans secrets. Parce qu’ils l’ont conquise et maltraitée, on la croit dévastée. Mais pourtant, la Méditerranée est toujours une mer vivante qui reste à explorer. Dans ces profondeurs se cachent de vastes et riches territoires que l’homme connaît très mal : les récifs coralligènes. Ces hotspots de biodiversité aussi beau que les récifs coralliens se trouvent dans la « zone crépusculaire », entre 60 et 120 m de fond où ne parvient que moins de 1 % de lumière.

Étudier, illustrer, et faire connaitre la partie méconnue des richesses sous-marines de la Méditerranée : c’est le défi que s’est lancé le biologiste, plongeur et photographe Laurent Ballesta à l’été 2019 lors de sa dernière expédition. Planète Méditerranée raconte cette épopée fantastique pour éveiller les consciences sur les trésors de cet espace. Le livre est aussi la conclusion de son travail plus global mené sur le long terme en Méditerranée et regroupe ses 200 plus beaux clichés inédits, des années 2010 à aujourd’hui.

Paiement Sécurisé – Livraison gratuite

Partagez sur vos réseaux :

À propos du livre

Au fil des années, le photographe Laurent Ballesta s’est imposé comme une des figures les plus emblématiques de la photographie naturaliste et sous-marine. Biologiste, il est bien sûr un plongeur hors-pair, féru des conditions les plus extrêmes de la pratique, moins par goût du danger que pour accéder aux mystères de profondeurs jusqu’alors restées inaccessibles. Chacune de ses expéditions est un défi technique pour lui permettre de dépasser un peu plus à chaque descente les limites physiques du corps et de la matière liquide, et avancer encore plus loin et plus longtemps dans l’espace des abysses. Explorer et rapporter des images inédites qui mêlent approche esthétique et scientifique : la plongée et la photographie sont, depuis ses débuts à 13 ans, intimement liées. Sa dernière aventure l’a conduit l’été dernier à rester durant 28 jours aux confins de la mer Méditérranée. Une première mondiale. Avec Antonin Guilbert, biologiste marin, Thibault Rauby, moniteur de plongée, instructeur et assistant éclairagiste, et Yanick Gentil, plongeur-cadreur, ils ont réussi la prouesse de plonger quatre cents heures, réaliser 31 plongées et descendre jusqu’à 142 mètres de profondeur !

Avec son livre Planète Méditerranée, Laurent Ballesta offre un nouveau regard sur la mer Méditerranée, berceau de notre civilisation, espace épique qui nourrit depuis des millénaires l’imagination des hommes. Son odyssée nous emporte à la découverte d’un monde méta-terrestre, peuplé de créatures surnaturelles. Un monde vivant dont la magie échappait jusqu’à présent au regard humain. Parfois, ses photographies semblent tenir de l’abstraction, faites de transparences et de structures formelles singulières. Surtout, ce sont les couleurs qui subjuguent, autant celles des décors naturels que celles de certains spécimens rares : des moments de grâce offerts par la beauté spectaculaire d’une planète extraordinaire, comme le souligne Laurent Ballesta, lui qui se rêvait « océanaute » et ne cesse d’espérer que « la beauté sauvera le monde ».

À propos de Laurent Ballesta.
« Laurent Ballesta est un enfant de Cousteau. Mais un enfant prodige qui, sur l’héritage de l’homme illustre, a sur construire sa propre légende. À l’attention que nous portions à l’océan, il a ajouté une nouvelle dimension, celle que lui procure la sensibilité sans pareille de son regard. Un regard de scientifique et de romantique, un oeil d’artiste et d’expert auquel rien n’échappe. […] Ce qui fait l’âme de son travail, c’est son sens inné de la beauté, de l’harmonie, de l’esthétique. [Il] ne trahit ni ne transgresse la beauté de la nature, il la restitue, la sublime parfois, mais surtout il nous la rend accessible et hautement respectable. »
Nicolas Hulot, in préface de l’album RSF consacré à Laurent Ballesta, paru en juillet 2020.

À propos de l’expédition Planète Méditerranée :
« Quand l’écologie devient une cause perdue, l’exploration et la conservation deviennent les plus nobles des combats. Si l’on veut garder ses rêves, il faut d’abord perdre ses illusions. Au regard de mes expéditions précédentes, je crois que ce projet est à la fois le plus ambitieux mais aussi le plus proche puisqu’il se passe en Méditerranée. En matière de performances techniques et sportives, il s’agit là d’une première mondiale, et je pèse mes mots quand je le dis. Voilà 18 ans que j’attendais d’avoir de tels moyens d’exploration. »
Laurent Ballesta.

 

4e de couverture

À tout voyage, son véhicule. Vers les étoiles, un vaisseau spatial, vers les abysses, un vaisseau bathyal. Les grandes profondeurs sont les planètes lointaines d’une galaxie toute proche. 100 m, 120 m, 140 m, ces distances sont dérisoires et infranchissables à la fois. Cet univers n’est ni proche ni distant, il est ailleurs. Alors l’atteindre, c’est rejoindre un monde parallèle : Laurent Ballesta et ses camarades sont allés très loin, sans vraiment partir. Ils sont restés chez eux, en Méditerranée. Et, dans la lumière crépusculaire d’espaces encore vierges, la vie peut être éblouissante. Là où peu de plongeurs s’aventurent se trouvent des oasis qui semblent résister à la destruction et à l’extinction. Ce sont les derniers refuges de tous les refoulés d’un littoral sous pression. Voici les portraits de ces inconnus en sursis et de ces paysages en péril. Plus qu’un nouveau monde, c’est une autre planète : la Planète Méditerranée.

Hemeria soutient Reforest’Action et agit pour la reforestation en France et dans le monde. Pour chaque livre acheté sur http://www.hemeria.com, un arbre est planté.

 

Ils en parlent

« Sous l’eau, je suis un cosmonaute. »

Avant qu’il reçoive à nouveau le grand prix du concours photographique Wildlife Photographer of the Year remis par le Muséum d’histoire naturelle de Londres, Laurent Ballesta a accordé un entretien exclusif à Jonas Cuénin, le rédacteur en chef du magazine photo en ligne Blind.

Vous pourriez aimer...

RECHERCHE