Pierre-Alain Balmer
C’est lors d’un voyage à New York, en 2011, qu’il reprend son activité photographique de façon très sérieuse. Il décide de suivre différents workshops en Suisse, France et au Royaume-Uni avec des photographes professionnels pour parfaire sa technique et développer son regard artistique.
Inspiré par des photographes tels que Sabine Weiss, Reto Albertalli, Karolin Klüppel, Philippe Pache, Denis Rouvre ou Henry Cartier Bresson, son regard est celui d’un photographe humaniste qui s’exprime plus particulièrement dans la facture de ses portraits.
Son projet « Fragile » aborde la question de la précarité à Genève par le biais, justement, d’une série de portraits en noir et blanc, qu’il associe à des images intimes ou à des instantanés de notre environnement urbanisé et anonyme. Ce travail a été salué lors de la Nuit de la Photo 2019 à la Chaux-de-Fonds, où il fut finaliste de la lecture de portfolios. Exposé à Genève en 2020, « Fragile » fait également l’objet de la parution d’un livre éponyme, premier ouvrage du photographe.
Actualités
Entretien avec Pierre-Alain Balmer // La précarité n’est pas un choix
Pierre-Alain Balmer a 55 ans, il est marié et père de deux filles, aujourd’hui adultes. Il a une formation d’ingénieur informaticien. Pour lui, la photographie
Ses oeuvres
Fragile
La ville de Genève, à l’image de la Suisse toute entière, incarne pour beaucoup l’opulence, la richesse, la réussite.
Pourtant, derrière cette façade socio-économique florissante, se cache une autre facette de la ville, paradoxale, qu’il faut se donner la peine d’observer pour lui donner un visage.
C’est ce qu’a entrepris le photographe Pierre-Alain Balmer.