Nous avons lancé Hemeria en novembre 2018 lors de notre première participation à Paris Photo en tant qu’exposant. Notre structure juridique était alors à peine définie. Aujourd’hui, après un premier trimestre d’activités, nous mettons en place les premières actions de notre stratégie de communication.
Toute entreprise se doit de communiquer, auprès de ses clients, de ses partenaires, des institutions. Même le choix de ne pas communiquer est une stratégie de communication.
Cette communication a plusieurs objectifs et selon que l’on souhaite promouvoir son image, lancer un nouveau produit ou soutenir sa nouvelle politique de prix, le message, la manière de le diffuser ou le support utilisé pour le faire ne seront pas les mêmes. Ni le budget.
Pour Hemeria, cette stratégie de communication est d’autant plus essentielle qu’un de nos périmètres d’action commerciale est le « grand public », dont il nous faut « capter l’attention ».
La nécessité de communiquer
Elle est surtout nécessaire : Hemeria est une société nouvelle sur son secteur d’activités ; elle propose un modèle alternatif au modèle traditionnel ; ce modèle couvre de multiples missions ; notre démarche est inédite en termes d’éco-responsabilité ; et il faut s’adresser à un public précis mais difficile à appréhender, celui des acheteurs et des amateurs de livres de photographie haut de gamme.
Autant d’enjeux qui demandent à être spécifiés. Il faut donc à la fois faire connaître notre marque, expliquer ce que nous faisons et donner à voir les livres des photographes que nous produisons.
Grâce à un partenariat avec Beaux Arts Magazine, orchestré par Alain Touminet et Frédéric Dahan pour printmodel1 dans le cadre de la réalisation technique du hors-série consacré à Jean-Baptiste Huynh, nous avons ainsi travaillé sur la conception de notre premier encart publicitaire, destiné à être publié dans le prochain numéro hors-série de Beaux Arts Magazine, disponible à partir du 10 avril.
Si le terme d’encart n’est pas très joli, il fait partie du jargon du métier. Cela veut dire que nous disposions d’une page complète pour parler de Hemeria.
Les lecteurs de cette revue étaient une « cible parfaite » (jargon encore !), mais il fallait définir notre message et nos objectifs.
La publicité se situe à un carrefour, entre création, industrie et culture ; échelle individuelle et collective ; identité culturelle et ouverture ; standardisation et innovation.
Dominique Wolton, Avis à la pub, cherche midi éditeur, 2015.
Quel choix était le plus opportun ?
1. Faire de cette opportunité l’occasion de publier notre « manifeste » et d’expliquer notre démarche globale ? 2. Utiliser cette page pour mettre en avant notre librairie en ligne ? 3. Ou bien adresser un message unique et fort sur la spécificité la plus impactante de notre offre ?
Cette réflexion nous a menés à la création de trois visuels tout à fait distincts. Nous vous laissons apprécier la manière, autant dans la forme que dans le fond, dont nous avons souhaité évoquer notre singularité.
La publicité est un outil de communication privilégié pour toucher nos acheteurs potentiels, les amoureux du livre et de la photographie, dont vous faites certainement partie.
Il n’en reste pas moins vrai que le choix est âpre quand il s’agit de réussir à susciter l’acte d’achat, à faire partager la valeur de nos missions et à engager une relation durable avec nos (futurs) clients.
Selon vous, quel visuel avons-nous sélectionné ?
Réponse dans le hors-série de Beaux Arts magazine…
La rédaction. Hemeria.
1 Printmodel® est notre partenaire exclusif pour le traitement des images, l’impression et le façonnage de nos livres. Printmodel® est co-fondateur de Hemeria.
