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Tirage Marielle, Bas résille, février 1991

Marielle, Bas résille, février 1991
Vogue
60×60 [80×80]
Pigmentaire sur papier baryté
Tireur : Granon

1/20 tous formats

Les formats indiqués correspondent au format de l’image. L’encadrement inclut le cadre, le verre anti-reflet et anti-uv ainsi que la boite de transport.

UGS TA-CARRARA-19 Catégories , , ,
MPN: TA-CARRARA-19
Marque :Hemeria

À propos de l'oeuvre

Ce qui fait la singularité d’André Carrara, c’est sa capacité à imaginer des scénographies d’une apparente simplicité et à mettre en lumière la personnalité des femmes et leur mystère par le biais d’une narration photographique et d’un œil unique pour magnifier le vêtement en même temps que le modèle.

« La force et la beauté des épreuves d’André Carrara est à trouver dans cette subtile rencontre entre l’instantanéité et la maîtrise du hasard convoqué. Si la photographie est minutieusement préparée et mise en scène, elle paraît cependant laisser une grande place à l’instant, au naturel. […] Tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, aux quatre coins du monde, sous toutes les latitudes. André Carrara construit ses sujets en amoureux du 7e art. Les références cinématographiques sont nombreuses. À l’instar de Rossellini, Bergman ou Buñuel qui, dans Stromboli, Persona ou Belle de Jour ont magnifié leurs muses, et auxquels il rend hommage dans de magnifiques clichés directement inspirés de scènes de ces films, André Carrara livre de beaux portraits de femmes, il invente une histoire qu’il déroule dans chacun de ses reportages, cherche un décor, pose un climat, choisit sa femme, son héroïne, conçoit ses mises en scène. L’unité doit être parfaite, elle est essentielle pour rendre l’atmosphère fugitive d’un instant, le miracle d’une lumière unique. »
Isabelle Cécile Le Mée.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Ce tirage est une œuvre d’art et vous permet donc de défiscaliser 100% du montant de votre achat sur 5 années si vous êtes une entreprise soumise à l’impôt sur les sociétés. Plus d’infos ici.

À propos du photographe

Depuis 1963 et sa première série de prises de vue, André Carrara a travaillé avec les plus grands directeurs artistiques du milieu de la mode, avec Antoine Kieffer, chez Vogue France, qui lui commande ses premiers reportages, puis avec Roman Cieslewicz, à Elle. Cette collaboration avec celui qui est considéré comme l’un des plus grands graphistes de la seconde moitié du 20e siècle est pour André Carrara déterminante : il parfait son style et signe alors avec lui de très nombreux reportages très graphiques, où la clarté et la simplicité de l’expression artistique répondent aux exigences de la nouvelle ligne artistique du magazine. La collaboration est entrecoupée d’un voyage de trois ans aux États-Unis où il effectue des reportages pour Mademoiselle, Glamour… De retour en France au début des années 1970, il reprend sa collaboration à Elle et publie dans de nombreux magazines comme dans les éditions britannique, allemande ou italienne de Vogue, tout en devenant l’un des principaux collaborateurs de l’agence de publicité MAFIA. Si, dans les années 1990, à la demande d’Anna Wintour, André Carrara collabore régulièrement au magazine américain Allure ainsi qu’à d’autres grands titres, les années 1980-2000 seront surtout les années Marie Claire et Marie Claire bis où il réalise, avec Walter Rospert puis Fred Rawyler comme directeurs artistiques, ses plus beaux sujets, ses plus belles photos.

À propos du livre

Photographe de mode reconnu internationalement, André Carrara signe avec Regards son premier livre. Regards raconte plusieurs décennies du parcours professionnel et artistique exceptionnel d’un photographe dont la discrétion et l’élégance sont à l’image de cette monographie qui lui est consacrée. Regards est une ode à la féminité et à la femme dans toute sa pluralité : une femme intemporelle, universelle, complexe, audacieuse, séduisante, provocante, inaccessible, parfois, belle, toujours.

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