[La voix des photographes] Marie-Agnès Périgault vous parle du travail qu’elle a entrepris à Venise en 2018 et 2019.

Ayant échappé à la mort par noyade en bas âge, j’ai la phobie de l’eau, la peur de couler et je me disais que fréquenter Venise l’amenuiserait peut-être ! Alors, pour augmenter cette tension, je déambulais seule la nuit le long des canaux.